𝐃𝐞𝐞𝐩 𝐋𝐞𝐚𝐫𝐧𝐢𝐧𝐠 𝐈𝐧𝐝𝐚𝐛𝐚 𝟐𝟎𝟐𝟒 : 𝐥’𝐀𝐟𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐟𝐨𝐫𝐠𝐞 𝐬𝐨𝐧 𝐜𝐡𝐞𝐦𝐢𝐧 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐝𝐨𝐦𝐚𝐢𝐧𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐢𝐧𝐭𝐞𝐥𝐥𝐢𝐠𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐚𝐫𝐭𝐢𝐟𝐢𝐜𝐢𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐥𝐨𝐫𝐬 𝐝’𝐮𝐧𝐞 𝐬𝐞𝐦𝐚𝐢𝐧𝐞 𝐝’é𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠𝐞𝐬 à 𝐥’𝐔𝐧𝐢𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐭é 𝐀𝐦𝐚𝐝𝐨𝐮 𝐌𝐚𝐡𝐭𝐚𝐫 𝐌𝐁𝐎𝐖 (𝐔𝐀𝐌) 𝐝𝐞 𝐃𝐚𝐤𝐚𝐫.

La 8ème édition du Deep Learning Indaba (DLI) a officiellement démarré ce dimanche, marquant l’ouverture de cet événement d’envergure internationale avec les premières inscriptions. Prévu pour se dérouler jusqu’au 7 septembre 2024, ce sommet mondial a poursuivi ses activités ce lundi, réunissant de nombreux acteurs majeurs du domaine de l’intelligence artificielle.

La cérémonie d’ouverture a été marquée par plusieurs interventions importantes, notamment celles du Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI), du Recteur de l’Université Amadou Mahtar MBOW (UAM), du représentant du Ministère de la Communication, des Télécommunications et de l’Économie Numérique, Mme Aïssatou Jeanne SY ainsi que du représentant de l’Ambassade de France, M. Florian BLAZY.

Lors de son allocution, le Recteur de l’UAM, le Professeur Ibrahima CISSÉ, s’est réjoui de l’organisation de cet événement au Sénégal. Il a souligné : « Le choix de notre université pour accueillir ce sommet témoigne de notre vision et de notre engagement à positionner le Sénégal comme un centre intellectuel et technologique en Afrique de l’Ouest. Nous avons toujours cru en la capacité de l’Afrique à adopter et à diriger les innovations technologiques mondiales. Ce sommet en est la preuve concrète. »

Il a poursuivi en déclarant : « Cette semaine nous permettra d’écouter des experts de renommée mondiale, de participer à des ateliers avancés, et surtout, de partager des idées qui façonneront l’avenir de l’intelligence artificielle en Afrique et au-delà. »

Le Ministre Abdourahmane Diouf (MESRI) a quant à lui prononcé des mots inspirants, appelant la jeunesse africaine à puiser dans ses racines tout en s’enrichissant des savoirs étrangers. Il a conclu : « Dans ce nouveau monde, un jeune Africain doit s’appuyer sur ses traditions et ses connaissances, mais aussi tirer le meilleur de la France, de la Suisse, des États-Unis et du Canada pour ensuite revenir construire l’Afrique. »